Je regarde longuement son visage,
il ne fait pas son âge.
Le regard de celui-ci semble absent,
son faciès disparaissant.
L'expression de cette figure,
vibrante telle une source d'eau pure.
Celle-ci se mêle à un air épais,
sa bouche devient sèche comme un épis de blé.
La physionomie de cette autre bobine,
déborde de couleurs, d'un tourbillon de lignes.
Le portrait de cet humain sombre,
la description picturale de son aspect est empli d'ombres.
Cet autre est-il de face, sa silhouette si particulière,
telle une caricature, une gueule d'époque en arrière.
Un crâne, des oreilles, un nez, des joues roses,
là, une bouille d'enfant qui pose.
La trogne de ce personnage hagard,
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